Ca tire à sa fin...
.. Et c'est pas plus mal. Le public dont l'âge semble augmenter à mesure que la semaine avance (on en est presque à ce demander si la vision de mâts de navire n'a pas une influence directe sur le vieillissement précoce des tissus et de l'apparition de plaies variqueuses...) avec comme corolaire le fait d'avancer en groupe, de ne pas laisser passer les gens et de ne pas savoir se servir d'un ticket de bus et de nous gratifier de considérations magnifiques sur l'abus de pastis (entendu dans le bus hier : "Moi je marche à l'EPO, Eau Pastis Olive", c'est Kersauzon qui a du débarquer en Normandie avec sa cohorte de beaufs).
Si les éditions précédentes étaient synonymes d'euphorie, de concerts parfois surréalistes (ah... la Campagnie des musiques à ouïr en première partie de Manau) et de chaleur incroyable, celle-ci aura été synonyme d'ennui profond, de concerts en coma dépassé, de pluie et d'évènements religieux dont on se demande bien ce qu'ils viennent foutre là !
Bref, c'est pas tout ça, mais...