Ah, ça me manquait, le pourrissage de blogue :-D<br /> <br /> Je vais voir ce que je peux faire pour plastic. Au besoin, je remplacerait pas de la résine de maïs.

7 ans de frustrations.<br /> <br /> <br /> <br /> Quoi ?!?!? Déjà 7 ans !!!! Fichtre, comme le temps passe vite. C’est incroyable. Alors tout d’abord il convient de souhaiter un joyeux anniversaire à ton blog. J’aurais des bougies virtuelles, je les planterais sur un gâteau, non moins virtuel lui aussi et puis je les allumerais afin de faire souffler l’ensemble à ton blog. <br /> <br /> <br /> <br /> Ca c’était pour la partie festive. Le virtuel à ce coté pratique qu’un anniversaire est finalement très simple à organiser. Mais toutefois, une ombre vient entacher ce magnifique instant de grâce. 7 ans déjà. 7 ans que tu parles de musique, de culture, d’ouvrir nos oreilles à de nouveaux sons. Et pourtant 7 longues années où je suis venu régulièrement, espérant que ta prose nous enjoigne à écouter tel ou tel artiste majeur mais que de déceptions !!! C’est à croire que tu boudes les plaisirs simples. <br /> <br /> <br /> <br /> Pour preuve : Jamais je n’ai lu le moindre article sur Michel Sardou. Pourtant il a chanté le France, les Ricains. Sardou quoi !! Le chantre de la Normandie !!! Bon, j’admets que le Jazz n’a pas souffert de l’absence de Sardou dans son registre mais qui sait ? N’aurait-il pas amené ce petit grain de folie qui manque parfois dans les compositions tellement prévisibles du mainstream jazzeux ? <br /> <br /> <br /> <br /> Et Plastic Bertrand ? Rien non plus. J’en ai toujours été marri. Comme si son nom interdisait de l’utiliser sous peine d’être polluant. Pourtant n’a-t-il pas chanté « Ca Jazz Pour Moi » à tue tête à Juan Les Pins avant de finalement renommer son titre phare en « Ca Plane Pour Moi » après un bœuf avec Zappa ? Ah… en voilà un qui aura eu une mauvaise influence sur la musique. Comment peut-on espérer réussir, et durer surtout, en fumant des herbes qui ne sont même pas de Provence ? Mais ne l’accablons pas. <br /> <br /> <br /> <br /> Tiens, en parlant ‘d’accabler’. C’est exactement mon état d’esprit en rédigeant ce commentaire. Je me rends compte du gouffre abyssal dans lequel je sombre en constant les lacunes de ce blog. Car pour respecter la parité* il faut aussi parle de Dorothée. N’a-t-elle pas fait tout son possible pour placer des notes qui n’existaient même pas dans la musique contemporaine ? Ses altérations vocales ne font-elles pas parties des fondements du jazz vocal moderne ? Et pourtant, rien… Sans doutes que ses textes étaient trop creux. Insipides. Mais n’était-ce pas la faute de ses paroliers ? Est-ce une raison pour laisser l’Artiste sur le bord du chemin ? <br /> <br /> <br /> <br /> Quoi qu’il en soit, je ne suis pas chagrin, je continuerai à venir sur le blog pour y puiser l’inspiration et peut-être un jour y lire les manifestations d’un bon gout totalement assumé et prescripteur. Encore une fois donc bon anniversaire et que les années soient encore longues !<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> * Les lecteurs attentifs observeront qu’il est difficile de parler de parité quand on cite trois artistes. J’objecte que Michel Sardou est un homme. Dorothée une femme et que Plastic Bertrand on ne sait pas trop. La parité est donc respecté avec 1,5 hommes et 1,5 femmes.

Merci Sophie ! :)

Joyeux anniversaire que le vent continue à t'être favorable !