Dans la triste grisaille normande, nous avons fendu deux fois l'autoroute et ses flaques pour une visite de courtoisie à mes chers aïeux havrais, dont les 89 ans ne laissent que quelques traces vénielles et une surdité latente, augmenté par une mauvaise foi persistante -mais non, je ne suis pas sourde...-
Après des agapes digne d'un repas chez l'ambassadeur, nonobstant les rochers en chocolat dégueu, et après avoir écouté dans la voiture des disques dont je vous causerai la semaine prochaine, le temps d'une retouche pour un portrait que j'aime vraiment bien.
A demain !