Eyal Maoz et Le label Futura sur Citizen Jazz
Deux chroniques sur Citizen Jazz, ce lundi, avec le beau disque du guitariste Eyal Maoz pour Ayler Records. Un disque bien moins décevant que le récent "Edom" du même musicien sorti chez Tsadik...
la rythmique réduite aux acquêts est démantibulée pour paraître
rudimentaire, tandis que le jeu de guitare tout en distorsions
raffinées malaxe le matériau brut pour tenter d’en extraire un semblant
de fragment précieux, au milieu d’un déluge de rythmes sourds et de
stridences résolues. Un diamant que les hésitations et les revirements
inhérents à la création improvisée laisse parfois passer inaperçu, la
faute sans doute à la tentation d’aller parfois trop loin, en préférant
l’élémentaire au fondamental... La suite sur Citizen Jazz...
Et une autre, qui me tenait vraiment à coeur, puisque c'est la première fois que je participais à un article collégial sur Citizen Jazz, à propos des 40 ans du label Futura&Marge de Gérard Terronès. l'occasion de chronique Alors!!! de Michel portal, l'un des disques fondateurs du Free-Jazz en France.
Les plus fidèles amateurs d'entre vous aurons remarqué également que Citizen Jazz a changé de maquette cette semaine : plus claire, plus lisible, plus pro, le magazine de jazz francophone le plus lu prend des atours plus que plaisant, et c'est là aussi très motivant... On aura l'occasion de parler début 2010 de la presse papier qui cause de Jazz, mais autant dire que l'offre écran est plus qu'alléchante, et c'est pas parce que j'y participe que je vais me géner pour le dire !
Et une photo qui n'a strictement rien à voir...