Petit Liré
C'est toujours ainsi lorsqu'on rentre de vacances... On croit les envies d'ailleurs taries, le corps et l'esprit reposé et comme Ulysse, où n'importe quel moule à son terroir-rocher, être prêt à repartir dans la grisaille en attendant de bouger de nouveau. Mais ça ne marche plus ça ; on a beau aimer labourer son terrain et défricher sa ville, l'envie d'ailleurs est un mal nécessaire de l'ouverture et de la découverte ; le pire de tout c'est aussi de la musique qu'elle se nourrit (diable, mais la musique est donc partout ?)
Les envies d'ailleurs ne se tarissent jamais et j'ai déjà de nouvelles envies géographiques dans la tête, des envies de découvertes, de recherches et d'écoute.
J'ai des envies d'ailleurs, mais des fois, quand je vois ça de ma fenêtre je dis, plein d'usage et de raison, que tout ceci n'est pas si mal...