90
Entre deux bains de soleil et un de mer qui se prépare, accompagné de la valse des saisons orchestrée par un Christophe Monniot de flamme, quelques temps avec mes aïeux pour leur 90 ans, une date un peu étrange qu'on regarde en rêvant un peu, quand tout va bien, sauf un peu de mécanique éreintée et de lenteur de mouvement.
La question, stupide, hein, comment pourrait-on être soi-même à cet âge quand on est déjà de mauvaise foi (et foie, va savoir...) à 35 ans ? Est ce que je vitupèrerai toujours sur la musique comme d'autres en photo plus bas sur les coiffures nécessairement extravagantes des potiches médiatiques de passage ?
Tant que je ne perds jamais la curiosité et que je ne penses jamais que c'était universellement mieux avant, en disqualifiant la différence et la création (comme j'en connais !)...
Retour lundi avec stock de photos et chroniques prêtes dans la tête... Je m'en retourne avec mes plus vieux modèles...