Twits et Gleizkrew sur Citizen Jazz
Dans ces périodes d'agapes familiales où il est de bon ton de se précipiter dès le samedi 26 pour échanger ses cadeaux et de se débarrasser de cet horrible vase que tata Monique vous aura fourgué derechef, voici deux disques chroniqué récemment sur Citizen Jazz, deux albums de cette jeune génération de jazzmen français électriques à la musique pleine de heurts et de tension qui mérite d'être défendue, et qui surtout pourra donner des idées pour les échanges de Cadeau...
Gleizkrew, c’est avant tout la sensation compacte d’une musique
fiévreuse, sans concessions, à l’état solide et physique, menée par
trois musiciens complices dans l’évocation spontanée d’un jazz urbain,
électrique et radical sous sa forme intransigeante, directe et
impérieuse... Libre, en un mot. La suite sur Citizen jazz...
Dispositif de tensions, au-delà de sa nomenclature électrique, est une suite de turbulences physiques qui rend la musique - pourtant puissante - presque fragile, via un étrange paradoxe entre le vulnérable et l’inexorable. La suite sur Citizen Jazz...
Et une photo qui n'a strictement rien à voir...