De la Vulgarité
Je n'ai pas trop -pas assez disent les potes- l'occasion ni l'envie de réagir dans ce blog sur les questions d'actualité, mais la ligne éditoriale principalement musicale de ce blog me permet de rapporter ici une brève lue dans le Canard Enchainé du jour, concernant la visite à L'Élysée de Shimon Péres.
Il semble, selon le valeureux journal, que la Présidence ait demandé à la garde Républicaine de jouer des morceaux de Rika Zaraï, ce que l'orchestre a dument refusé, en menaçant de déposer les cuivres. on imagine cependant la beauté de la chose : de chevaux qui font caca par terre avec un orchestre de 30 pièces qui s'époumone sur cette sardane :
"Puisque l'on vient au monde tout nu
Tout le reste c'est du superflu
Les chemise, les pantalons
Sont là des signes extérieurs
De richesse pour le percepteur
Sans chemise, sans pantalon"
Au delà de la cocasserie de la chose, on peut se désoler d'un tel niveau de cuistrerie qui n'est qu'un petit épithète culturel d'un comprtement péremptoire... Et se demander ce que l'on demandera à la Garde de jouer lorsque Berlusconi viendra pavoiser.
Sabrina ou Richard Cocciante ? La Classe internationale...